Sujet tabou, la sécheresse vaginale touche pourtant une femme sur six et près de la moitié après la ménopause.
Ce défaut d’hydratation locale se relève bien souvent lors des rapports intimes ou par des états inflammatoires locaux.
Il est important de la traiter, car elle peut évoluer
- vers un déséquilibre de la flore vaginale et par conséquent de l’immunité locale,
- une sensibilité accrue aux infections vaginales et urinaires et
- une atrophie des muqueuses.
RESTAURER LE MICROBIOTE VAGINAL
Quand les conditions physiologiques normale du vagin sont modifiées, des bactéries normalement présentes en quantité réduites dans la flore vaginale se multiplient et provoquent des inflammations.
Celles-ci se traduisent par des écoulements inhabituels et des démangeaisons ou brûlures légères (surtout lors des rapports sexuels). Ces signes doivent être traités rapidement.
Des capsules/ovules utilisées localement, à base de Lactobacillus casei rhamnosus Dordeleini participent au rééquilibrage de la flore vaginale.